LE DERNIER DRAGON SUR TERRE - Septembre 2021
Auteur : Eoin COLFER
Traduction de Jean-François MENARD
Illustration de couverture : Création Studio J’ai Lu
Editeur : J’AI LU
411 pages, 7.90 €
4ème de
couverture :
"Vern – pour Wyvern – est le dernier de sa race. Il faisait autrefois régner la terreur partout où il passait, mais il se cache aujourd’hui au fond d’un bayou de Louisiane, où il coule une retraite paisible à siroter des quantités indécentes de vodka en binge-watchant Netflix. Il n’y a pas grand-chose d’autre à faire, sinon remettre de temps à autre les alligators du coin à leur place, histoire de leur montrer qui est le patron. Un improbable concours de circonstances lui fera croiser la route de Squib, un jeune particulièrement doué pour s’attirer des ennuis. Justement, ces derniers ne font que commencer…"
En matière de
littérature de l’Imaginaire, je suis et je reste un bon lecteur. Sans doute
près de 70 ouvrages par an.
Les lectures
s’enchainent les unes derrière les autres. Et parfois, le temps manque pour
poser sur le papier ou autre, mes impressions, mes coups de cœur.
Au grand dam
de mes modestes Chroniques.
Aussi, en
attendant de développer plus avant mes impressions, je vous propose plusieurs
Chroniques à suivre sur des textes qui ont retenu mon attention et qui
pourraient vous orienter dans des achats à venir !
A commencer
par LE DERNIER DRAGON SUR TERRE de Eoin
COLFER.
Vous
connaissez la création littéraire ARTEMIS FOWLES, destiné à un public Jeunesse.
Alors vous ne serez pas déçu par cette histoire à réserver aux adultes surtout.
Mais toujours
le même rythme de ce raconteur d’univers foutraque, le même humour pince sans
rire.
Si vous ne
connaissez pas les us et coutumes dans le bayou, vous allez être servi. C’est
humide avec des créatures guère amicales : caïmans, mocassin d’eau,
tortues carnivores. Une population qui profite de cet environment pour
trafiquer. Des gens guère accueillants. Même la police est au diapason. En
symbiose avec cet univers aqueux.
Et puis en
guise de voisins très particuliers, un dragon, le dernier de son espèce, et un
mogwai (rien à voir avec le gentil Gizmo). Si vous pensiez que les autochtones étaient un
peu fondus de la cervelle, avec ces deux-là vous allez en apprendre des vertes
et des pas mures.
Tout cela
avec un humour corrosif, comme les glaires d’un dragon.
Tout pour
vous détourner et aller faire le touriste ailleurs !
Extrait :
« - Techniquement, on pourrait dire que je t’ai marqué. Tu as de la chance, petit. L’urine de dragon possède toute sortes de propriétés, notamment une espèce de substance chimique qui a un pouvoir de guérison. On estime que les mogwai sont constitués principalement de cette substance chimique, ce qui leur donne des capacités de guérison exceptionnelle."
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